Trois vagues longilignes et des paroles en l’air

, avant Noël sous la villa Sans-Gêne, à l’aplomb, trois femmes en néoprène à la conversation (douceur sensuelle de l’eau tiédie sous la seconde peau ?) l’instant ne dure guère plus longtemps que la cuisson d’une grosse poignée de langoustines...

Vagues souvenirs sous papier bulle

Quoi de plus doux, qui de plus apaisant sauf les petites notes de musique en pluie sur les ardoises, le pare-brise, les vitrines, nos écrans, ce qui nous sépare. Au bout du couloir les puces et les antiques, loin de Paris, ont presque l’air de se demander...

Contre la montre, tout contre

Qu’y a-t-il donc de si troublant, de si défendu à regarder la mer depuis la côte, sa frontière secrète, indéfendable, son horizon versatile faussement géométrique et son ciel médusé ? S’accordent à son sujet beaucoup de fausses paroles aux mots creux...

La belle américaine

On a vu des films dans les nouveaux couloirs numériques, du temps qui passe à la longue-vue depuis son fauteuil, des trucs pas possibles avec des nouveaux mots, mettre sur pause si besoin, le moins souvent possible, le temps d’aller prendre un verre, donner à manger...