J’aime beaucoup la douceur de vos photos, et l’odeur du café fraichement torréfié. Voilà très longtemps que je n’ai pas vu ce genre de machine mais j’imagine très facilement le parfum qui s’en dégage.
Merci pour vos partages si agréables à lire.
Je viens de faire quelques lectures sur les fondeurs de France. Je suis surprise de voir que ces fonderies existent encore.
Mais pour la p’tite histoire :
Avant de se marier, ma mère travaillait pour un importateur de cloches d’église. Quand elle a quitté la boîte, après plusieurs années, le patron a fait fabriquer une cloche, une lourde cloche de bronze gravée à son nom.
Mais le fondeur était Bollée, près d’Orléans…
J’aime beaucoup la douceur de vos photos, et l’odeur du café fraichement torréfié. Voilà très longtemps que je n’ai pas vu ce genre de machine mais j’imagine très facilement le parfum qui s’en dégage.
Merci pour vos partages si agréables à lire.
Ravi que cela vous plaise, merci Chris de votre passage !
La proximité du torréfacteur est puissamment dépaysante.
Et vos photos, décidément. Là, cette brume.
Merci.
Propos de brume et de brasier… dites-moi Dominique, quel est le nom de la fonderie?
C’est la fonderie Cornille-Havard, dans la bien nommée Villedieu-les-Poêles..
Je viens de faire quelques lectures sur les fondeurs de France. Je suis surprise de voir que ces fonderies existent encore.
Mais pour la p’tite histoire :
Avant de se marier, ma mère travaillait pour un importateur de cloches d’église. Quand elle a quitté la boîte, après plusieurs années, le patron a fait fabriquer une cloche, une lourde cloche de bronze gravée à son nom.
Mais le fondeur était Bollée, près d’Orléans…
Un personnage vu à proche distance… Belles photos pas terrifiées, le ciel les a torréfiées en plus… 🙂
Une telle élégance établissait d’elle-même la distance idoine ! 🙂
Merci pour ton passage.