Les grands vaisseaux taillés pour la haute mer
La littérature
Architecture magnifique
Équipages huilés, foi de morue
À fendre la vague
Hemingway, Poe, Defoe, Conrad
Homère
Baudelaire
Voyage sec
Quelquefois aviné,
Toujours ivre
(On parle aussi d’appareiller pour une prothèse, des travaux minutieux)
Au cœur de l’océan la houle est cosmopolite
Ce que sera le monde
Ou il sera triste, foi d’animal
On pourrait y passer des heures
À ressasser comme une vache
Savoir ce qu’il y a en dessous
En dedans, ce que ça cache
Dans le passé démêler du bonheur
Les malheurs
Mais,
J’allais oublier :
Le noyer mort est toujours
Vivant (juste une simple gueule de bois)
Les noyés, eux, nagent peut-être vers des abysses inconnues, la mer Noire en attend prochainement, littérature à l’Est de la démesure, noir et blanc d’un cauchemar blindé… 🙂
Difficile de dire mieux, au risque de s’abîmer soi-même ^^
la fille de marins a été toute désarçonnée et a souri de plaisir à la chute
un peu de légèreté, en ce moment ne nuit pas ;–)
Merci
;–)
Le noyer mort pourrait faire une belle coque sur la mer qu’on voit danser le long des golfes clairs…
Ah oui :—)
On pourrait même envisager une petite flotte, comme les « optimists » des classes primaires qui font la queue leu leu sur l’eau dans l’avant-port !
ô mâts
béquilles des voiliers
bandées de voiles tachées de vent
ô bouteille
des marins, la boussole infidèle
😉