Douceur de l’ustensile

Tendre compas arpenteur de bocaux

Confesseur de chairs suaves

Alcool, vinaigre, moût

Les petites mains de la tentation

Dans des parfums rustres et farouches 

Froissent la soie des jours qui passent

Un silence d’insectes colore la délicatesse du soir

Et l’air de jalousie sous les fruits du noyer

Plus haut, une lumière oblique achève de consoler les draps

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