C’était, je crois, chambre 36, ou 37
Troisième étage
On s’était juré de ne pas changer une ligne
Mais l’environnement, on l’a vu, est instable
Fols cuers legiers et volages
Ni tentative, ni épuisement
Le passé est orages
Bruines, brumes
Soleils couchants
Grand merci pour cette évocation douce du temps qui se faufile entre ses branches et court dans nos veines aussi.
Merci Chris pour vos généreux passages par ici 🙂
Douces images et sons hypnotiques !
C’est le signal en fin de journée appelant à cesser le travail, généralement bien reçu 🙂
tout passe qui change vite
dans l’ymage du monde
et la pluie
même pour l’arbre mort
…
(j’aurais aimé pouvoir
mettre ymage en italique)
Oui, une ymage, j’y serais sensible (je vais regarder dans le moteur, quel maléfice s’oppose au dépôt d’ycelle) 🙂
Des noyers presque comme ceux d’Altembourg : toujours changeants et toujours les mêmes. La suite des photos induit une douce musique répétitive carillonnante. 😉
L’itération abolit la précarité, jusqu’à un certain point (final). 😉