Un vent léger animait les feuilles, rumeur traversée tous azimuts par les sifflets, lazzi, appels et déclamations sibyllines des oiseaux. Par conséquent, de la conversation localisée en forme de confidence, nous ne saurons pour ainsi dire, rien. Et pour le reste, curieusement et comme d’habitude, il n’y a pas grand monde. On aimerait imaginer un dialogue à la Sempé, dans sa délicate écriture script.
Par hypothèse, de retour du Jardin des Plantes, le voyage commence. On ne saurait vivre parallèlement sans le murmure énigmatique d’une voix de femme.
J’aimerais beaucoup être dans la confidence et avoir l’ouïe fine d’une elfe pour comprendre ce qu’ils se murmurent à la feuille…
Je me demande si ces beaux élancements ne se seraient pas échappés du Bois des Moutiers… ? Mais un arbre peut cacher la forêt, dit-on ! 🙂