…
« Bons Baisers de la Brie », concluais-je tantôt
Un courrier par ces mots à l’amie
Qui ne m’avait pas chanté la nuit
Mais pour laquelle éprouvais-je pourtant
Des sentiments
« Et sans doute, continuai-je à l’autre
Amie, vous aussi
Croyez bien je vous embrasserais
Sans délai
Si un vent très violent
Ne s’y opposait »
« Enlaçons-nous, écrivis-je à la troisième,
Une dernière fois je vous prie
Je vous aime aussi »
(Un mot de trop, sans doute)
Qui croyait prendre, tel épris
« Il n’y avait que vous, décidément
Croyez-m’en »
Poursuivis-je le soir
Pour une amie belle et Noire
Intempestivement
(Sur le bord du chemin, un esprit
Vient hanter le corps de celui
Qu’il mit bas autrefois :
Fée la vie)
…
Beaux arbres et adieu qui déménage… 🙂
Le vent tourne ! 😉
La vie en mots et celle croisée dans vos photos semble plus impressionnante en noir et blanc, surtout lorsque le ciel s’en mêle, ou s’emmêle…
Un pur effet visuel !
L’arbre sans le corbeau ?
le buisson sans le renard ?
peut-être.
mais la Brie sans fromage ?
une réponse toute pa[r]lote
en écho
aux belles lettres aux belles lectrices.