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avant Noël sous la villa Sans-Gêne, à l’aplomb, trois femmes en néoprène à la conversation
(douceur sensuelle de l’eau tiédie sous la seconde peau ?)
l’instant ne dure guère plus longtemps que la cuisson d’une grosse poignée de langoustines ou d’une araignée de mer, après quoi deux ou trois vagues longilignes et des paroles en l’air
(l’idée soulèvera la tempête, dans le crâne pas seulement)
Tant qu’il y aura des vagues en ligne…
Le roi soleil se couchant mérite bien que l’on puisse tous assister à cette cérémonie, depuis qu’on lui coupa un jour la tête.
Las, la monarchie est réapparue sous d’autres formes (de “La Lanterne” au fort de Brégançon puis aux prochains “vœux” et consignes télévisés le 31 décembre à 20 heures sur les chaînes de l’Élysée).
Heureusement, le paysage libre résiste vaillamment aux entrepreneurs aux doigts palmés de la “start-up nation” et à leur chef – covidé peut-être un jour définitivement du pouvoir qui lui colle à la peau comme un mollusque. 😉
Le personnage disparaîtra un jour ou l’autre, comme un mauvais virus… avant le retour d’un autre avatar, plus ou moins fidèle à l’original !
Merci pour le morceau de rêve.
un petit moment de liberté
Tu nous fais revivre un joli souvenir de l’été dernier, cher Dominique, quand nous avons découvert la surprenante villa mauresque d’Agon-Coutainville qui regarde cette Manche océane où vient s’abîmer derrière ses “vagues longilignes”, “le soleil, suspendu aux portes du couchant dans des draperies de pourpre et d’or” (lointains souvenirs “lycéens” de ces mots du Vicomte qui a bien dû traîner ses bottes le long de ce rivage à quelques lieues des murailles de Saint-Malo !)
C’était une très belle journée d’été, dans une relative insouciance ; du luxe, donc…
Belle conclusion lumineuse pour une année où la lumière manquait. Tous mes vœux cher Dominique et remerciements pour vos partages de 2020.
avec grand plaisir, et merci à vous pour vos passages 😉
Une double peau en viroprène ?