Tes cheveux autrefois, les doigts s’y perdent en jouant du tambour, le vent y dessine des rivières
elles caressaient tes muscles, ton dos
La main comme une prière désormais, un frisson parcourt la joue, le cou, tes yeux baissés sur le sable couleur de soie
ridée, tremblement du silence
éblouissement tranquille
un souffle court
La photo renvoie à l’estuaire de la Sienne (avec ou sans majuscule)…
Sédimentalement – apercevoir le Bruant des roseaux ! 😉
Merci à toi pour les précisions… écologiques ! (l’endroit précis se trouvait dans le périmètre réglementaire avant le 3 mai, l’œil étant autorisé à glisser à plus loin !)
J’aime beaucoup vos minutes de Mai.
Respirations au milieu du tumulte.
Instants de pause où on laisse les souvenirs caresser son âme.
J’aime beaucoup…
Merci à vous. C’est un souffle, un rien 😉