(En souvenir des quelques bruissements du monde, lorsque le vent vient souffler dans les aubépines ce qui lui chante, avec parfois d’invisibles observateurs. Et soudain un personnage au corsage de lierre, ventre accueillant aux futurs ululements)

Les petits pois de son corsage
S’éparpillèrent sous les doigts
D’un amant cueilli au passage
A Clamart, l’été dans les bois

dans Raymond Radiguet, Vers libres, 1937
Une édition illustrée, ici (attention, curiosa ; merci de cliquer d’un doigt sûr, mais léger)

Et puis une pluie fine et tiède créait l’intimité fragile et nécessaire, une illusion de paix parmi les grisailles du monde

Un refuge, une retraite, un asile ? Va savoir…