C’est fou quand même, les analogies
Tu prends la mort — cette sidération
au sens astronomique : un trou noir déforme l’espace-temps de ton ventre intérieur — absence absolue des mots pour le dire (les mots, qui se jouent des lois astrophysiques, ont été soufflés par l’événement ; les autres personnes plus éloignées en perçoivent les bribes par effet sympathique)
Bye bye, Alan, game over
Le truc, l’imprévisible, ce sont les images qui continuent de tourner en boucle comme des gifs ou des flashes, et leur ronde s’imprègne petit à petit de l’or du temps
Dans le monde de plus en plus incompréhensible, si fragile, la Terre qui s’entrouvre quelquefois pour recueillir des larmes, sa bonté
C’est beau, en fin de compte
Bye bye, Alan, vieux chasseur


Les images parlent toutes seules. On pense aussi à cet inconnu. 🙁
À défaut de pouvoir le sortir de son anonymat , j’aurai au moins essayé de lui donner une voix 🙂
Partir sur un air de Django,
En boucle
C’est beau,
Partir sur un air de guitare
Tôt ou tard
C’est plus doux,
Surtout pour les amis
Qui restent …
C’est la guitare manouche qui nous avait réunis, la musique a ce pouvoir 🙂
on ne peut rien dire.. que partager l’écoute
Merci pour votre écoute, alors 🙂